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dei corsi di pittura e scultura all'[[École des beaux-arts]]. Dotato di una bella voce, colse l'occasione per frequentare anche le lezioni di canto del Conservatorio parigino. Ma questa sua seconda attività fu troncata da un'operazione alla gola: gli restarono pertanto le arti figurative. Oltre all'École, Suxor-Coté frequentò l'[[Académie Julian]] e l'[[Académie Colarossi]]. Nel 1887, iniziò per lui il lavoro professionale: partecipò infatti alla decorazione di alcune chiese a fianco del pittore Maxime Rousseau e realizzò delle opere per [[Wilfrid Laurier]]<ref>[http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/pages/biographies/309.html « Marc-Aurèle de Foy Suzor-Côté (1869-1937) Artiste], Bilan du siècle, [[Università di Sherbrooke]].</ref>.
 
Durante il suo apprendistato Suzor-Coté realizzò un numero notevole di quadri del tutto accademici, forse un centinaio. Queste opere riflettono gli insegnamenti imposti agli studenti dalle Belle Arti. Inoltre, in quegli anni egli frequentò lo scultore [[Auguste Rodin]]<ref>Nel Québec Rodin non era accettatoben visto, a causa della natura audace delle sue opere</ref>. Una di queste opere è ''Il grande nudo'', un dipinto accademico che ritrae un'amica di Auguste Rodin.<br de ses œuvres de cette époque est ''Le Grand Nu'', une académie d'une amie d'Auguste Rodin./>
Ritornò nel Québec nel 1907 e all'inizio sistemò il suo atelier a Arthabaska, il suo paese natale. Ma ben presto Suzon-Coté preferì trasferirsi in città, a [[Montréal]] (pron. Monreàl).
 
Aujourd'hui, de Foy Suzor-Côté est reconnu pour l'envergure et la variété des sujets qu'il traita dans sa carrière de peintre. De plus, la majorité de ses œuvres furent marquées du courant impressionniste alors à la vogue au Québec. Certains évaluent le nombre de ses œuvres à plus de 1500{{refnec}}. Il est reconnu pour ses scènes historiques relative au pays, comme la venue de [[Jacques Cartier]] à [[Stadaconé]], œuvre intitulée ''Jacques Cartier rencontre les Indiens à Stadaconé en 1535''. Offerte à l'origine au gouvernement du Canada qui la refusa, cette œuvre est aujourd'hui conservée du [[musée national des beaux-arts du Québec]]. Aussi, peut-il être qualifié de {{Citation|chantre de l'épopée de la Nouvelle-France et historien du Canada}}{{refnec}}. Un nombre élevé de ses toiles illustrent des scènes de la vie quotidienne des gens rencontrés dans son Arthabaska natal, pays qu'il chérira toute sa vie. Avançant dans la carrière, il se consacrera à la création de nus impressionnistes d'amies qu'il aimera qualifier de « cousines ». Plusieurs de ces nus impressionnistes rappelleront les académies produites à Paris.
Lors du retour du peintre au Québec, il installe son atelier à Arthabaska. Cet atelier fut construit vers 1895. Un visiteur du temps, Jean Chauvin, donne une brève description de cet atelier qui était garni {{Citation|des mille choses singulières, brocantées au hasard des voyages, amassées au long des années, le tout tenant à la fois du petit musée et de bric-à-brac}}. Il revient au Québec en [[1907]] et s'installe à [[Montréal]] (pron. Monreàl).
 
Aujourd'hui, de Foy Suzor-Côté est reconnu pour l'envergure et la variété des sujets qu'il traita dans sa carrière de peintre. De plus, la majorité de ses œuvres furent marquées du courant impressionniste alors à la vogue au Québec. Certains évaluent le nombre de ses œuvres à plus de 1500{{refnec}}. Il est reconnu pour ses scènes historiques relative au pays, comme la venue de [[Jacques Cartier]] à [[Stadaconé]], œuvre intitulée ''Jacques Cartier rencontre les Indiens à Stadaconé en 1535''. Offerte à l'origine au gouvernement du Canada qui la refusa, cette œuvre est aujourd'hui conservée du [[musée national des beaux-arts du Québec]]. Aussi, peut-il être qualifié de {{Citation|chantre de l'épopée de la Nouvelle-France et historien du Canada}}{{refnec}}. Un nombre élevé de ses toiles illustrent des scènes de la vie quotidienne des gens rencontrés dans son Arthabaska natal, pays qu'il chérira toute sa vie. Avançant dans la carrière, il se consacrera à la création de nus impressionnistes d'amies qu'il aimera qualifier de « cousines ». Plusieurs de ces nus impressionnistes rappelleront les académies produites à Paris.
 
Il est l'un des peintres canadiens les plus importants des débuts du {{s-|XX}}. Le {{date-|4 décembre 1929}}, le journal ''[[La Presse (Montréal)|La Presse]]'' rapporte : {{Citation|Suzor-Côté est le peintre national par excellence.}} Le critique d'art Morgan Powell souligne que {{Citation|ses paysages ont une richesse, un immensité, un sens des grands espaces. Quand je compare une de ses scènes de forêt aux prétendues études forestières du [[Groupe des Sept (peinture)|Groupe des Sept]], j'ai l'impression de comparer un géant à un pygmée.}}
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== Bibliografia ==
* AA.VV., ''Suzor-Coté : lumière et matière'', [[Québec (villecittà)|Québec]] : [[MuséeMuseo nationalnazionale desdi beaux-artsbelle du Québec|muséearti dudel Québec]] ; [[Montréal] ]: [[Les Éditions de l'Homme]] ; [[Ottawa]] : [[MuséeMuseo desdi beaux-artsbelle duarti del Canada]], impressionstampato nel 2002, 383 ppag. : ill. (certaines en coul.)illustrazioni, cartescarte, portr.ritratti (certains- enISBN coul.) ; {{unité|29|cm}} {{ISBN|2-7619-1739-1|9781978-2-7619-1739-1}}
 
== Altri progetti ==
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== Collegamenti esterni==
* Andrée Lemieux, [http://www.museevirtuel-virtualmuseum.ca/edu/ViewLoitDa.do?method=preview&lang=FR&id=414 « Suzor-Coté : Genèse d'une œuvre »], ''Centre d'exposition de l'Université de Montréal'', surin: museevirtuel-virtualmuseum.ca.
* [http://www.mccord-museum.qc.ca/scripts/search_results.php?Lang=2&keywords=suzor&order=1&curset=2 Œuvres de Marc-Aurèle de Foy Suzor-Côté] sursul lesito sitedel du [[muséeMuseo McCord]]
 
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