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Ritornò nel Québec nel 1907 e all'inizio sistemò il suo atelier a Arthabaska, il suo paese natale. Ma ben presto Suzon-Coté preferì trasferirsi in città, a [[Montréal]] (pron. Monreàl).
 
Oggi, Suzor-Côté è noto per l'ampiezza e la varietà dei soggetti che egli ha trattato lungo la sua carriera di pittore. Alcuni stimano che il numero dei suoi lavori superi i 1500. La sua fama inoltre è dovuta proprio a quell'impronta impressionista che avevano le sue tele, in un momento in cui nel Québec l'impressionismo era molto apprezzato e celebrato. Ma egli è conosciuto anche per le scene storiche che illustrano gli episodi della storia del Québec, come, ad esempio, la venuta di [[Jacques Cartier]] a Stadaconé, opera intitolata "''Jacques Cartier rencontre les Indiens à Stadaconé en 1535''". In origine essa fu offerta al Governo canadese che la rifiutò; oggi invece essa è conservata nel Museo Nazionale di belle arti del Québec e Suzor-Coté può essere definito come "il cantore dell'epopea della Nuova Francia e storico del Canada" (cit.).<br />
Aujourd'hui, de Foy Suzor-Côté est reconnu pour l'envergure et la variété des sujets qu'il traita dans sa carrière de peintre. De plus, la majorité de ses œuvres furent marquées du courant impressionniste alors à la vogue au Québec. Certains évaluent le nombre de ses œuvres à plus de 1500. Il est reconnu pour ses scènes historiques relative au pays, comme la venue de [[Jacques Cartier]] à [[Stadaconé]], œuvre intitulée ''Jacques Cartier rencontre les Indiens à Stadaconé en 1535''. Offerte à l'origine au gouvernement du Canada qui la refusa, cette œuvre est aujourd'hui conservée du [[musée national des beaux-arts du Québec]]. Aussi, peut-il être qualifié de {{Citation|chantre de l'épopée de la Nouvelle-France et historien du Canada}}{{refnec}}. Un nombre élevé de ses toiles illustrent des scènes de la vie quotidienne des gens rencontrés dans son Arthabaska natal, pays qu'il chérira toute sa vie. Avançant dans la carrière, il se consacrera à la création de nus impressionnistes d'amies qu'il aimera qualifier de « cousines ». Plusieurs de ces nus impressionnistes rappelleront les académies produites à Paris.
Un numero consistente dei suoi quadri illustra scene della vita quotidiana degli abitanti di Arthabaska, paese che Suzor-Coté amò per tutta la vita. Col passare degli anni e il consolidarsi della sua carriera egli si dedicherà vieppiù alla creazione di nudi femminili realizzati con tecnica impressionista. Modelle di questi nudi erano sue amiche e conoscenti che egli amava chiamare "cugine"; molte di queste opere si richiamano ancora alla tecnica accademica imparata in a Parigi.
 
Suzor-Coté è certamente uno dei pittori canadesi più significativi dell'inizio del XX secolo. In data 4 dicembre 1929 il quotidiano "La Presse" di Montréal riporta questo commento:
Il est l'un des peintres canadiens les plus importants des débuts du {{s-|XX}}. Le {{date-|4 décembre 1929}}, le journal ''[[La Presse (Montréal)|La Presse]]'' rapporte : {{Citation|Suzor-Côté est le peintre national par excellence.}} Le critique d'art Morgan Powell souligne que {{Citation|ses paysages ont une richesse, un immensité, un sens des grands espaces. Quand je compare une de ses scènes de forêt aux prétendues études forestières du [[Groupe des Sept (peinture)|Groupe des Sept]], j'ai l'impression de comparer un géant à un pygmée.}}
{{Citazione| Suzor-Coté è il pittore nazionale per eccellenza.}} <br />
Il critico d'arte Morgan Powell sottolinea inoltre che: {{Citazione|... i suoi paesaggi hanno una ricchezza, un'immensità, un senso dei grandi spazi. Quando paragono una delle sue vedute di foreste ai presunti "studi di foreste" del "Gruppo dei Sette", ho l'impressione di confrontare un gigante con un pigmeo.}}
 
À la veille de ses 58 ans, le matin du 20 février 1927, de Foy Suzor-Côté est victime d'une attaque d'[[apoplexie]] qui l'oblige à cesser ses activités créatrices. Les dix années qu'il lui reste à vivre lui permettront cependant de se consacrer à la diffusion de son œuvre et de préparer son entrée dans un éventuel panthéon canadien. La nouvelle de son [[hémiplégie]] et de son combat ravive la sympathie du public à son égard. Suivent des traitements à l'hôpital Français et au Sanatoriun Prévost de [[Cartierville]]. Avec l'aide de son frère Arthur, fondé de pouvoir, il écoule son fonds d'atelier. Les autorités de la ville d'Arthabaska restent insensibles à la possibilité qui s'offre alors à elles d'acquérir le tout.