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Perciò, intorno al 1840 Havas e Delaire pubblicavano quattro bollettini: une ''Correspondance politique'' destinée aux préfets et aux sous-préfets, et sa déclinaison pour la presse départementale gouvernementale (''La Correspondance politique privée''), ainsi que ''le Petit Bulletin universel'' aux membres du gouvernement, résumant les nouvelles de la veille et de la nuit. Pour les banquiers et hommes d'affaires, ''la Petite Feuille''<ref name="pol" />, synthétique, résume des extraits de journaux, quelques faits boursiers et la cote des obligations. Ils ont rapidement comme clients environ 70 « feuilles départementales<ref name="pqr" /> ».
Delaire reçoit alors deux subventions, dont une qui varie de {{formatnum:1100}} à {{Unité|1700|francs}}, versée tous les trimestres. Au total, sur la période 1840-1841, l'agence Delaire-Havas aurait reçu {{Unité|200000|francs}} de l'État<ref>Pierre Albert, Gilles Feyel, et Jean-François Picard, ''Documents pour l'histoire de la presse nationale aux {{s2-|XIX|e|XX|e}}'', 1977.</ref>.
Soutenu par le banquier [[Jacques Laffite]], Havas obtient le droit d'utiliser le télégraphe électrique dès 1845, cinq ans avant que la loi de 1850 ne l'autorise aussi à ses concurrents, sous des conditions très strictes<ref name="pol" />. Questo stretto legame con il Ministero degli Interni spiega perché [[Balzac]] chiamasse Havas "il prestanome del ministero"; lo scrittore sosteneva che Havas ricevesse dal ministero 6.000 franchi al mese contro « {{unité|4000|francs}} des journaux », dénonce-t-il<ref>[https://books.google.fr/books?id=C3gGAAAAQAAJ&pg=PA246&dq=havas+balzac+1840&hl=fr&ei=LsEHTtLzCMao8QPekszCDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&sqi=2&ved=0CCsQ6AEwAA#v=onepage&q=havas%20balzac%201840&f=false Honoré de Balzac, ''Revue parisienne'', {{vol.|1}}, {{numéros|1-3}}], p. 247.</ref>. Résultat « les journaux à leur insu, n'ont que ce que le premier ministre leur laisse publier », martèle-t-il<ref name="Paperblog">Bernard Vassor, ''[http://www.paperblog.fr/1304831/la-presse-au-19-siecle-un-precurseur-charles-louis-havas/ La presse au 19{{e}} siècle : un précurseur, Charles Louis Havas]'' 14 novembre 2008.</ref>.
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