Talk:History of Latin America/Sandbox

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Latin America refers to countries in the Americas where Latin-derived (Romance) languages are spoken; these countries generally lie south of the United States. By extension, some, particularly in the United States, incorrectly apply the term to the whole region south of the United States—including non-Romance-speaking countries such as Suriname, Jamaica, and Guyana.

This region was home to many indigenous peoples and advanced civilizations, including the notable Aztecs, Inca and Maya, before the arrival of Europeans in the late 15th century. Upon their arrival, most of Latin America was colonized, primarily by Spain and Portugal, and, to a lesser extent, by France. In the early 19th century most of the countries in the region attained their independence, although a few small colonies remain.

A 17th-century map of the Americas

Before Columbus

Although little documented, the prehistory of the region goes back as far as that of Europe. Latin American history extends back many centuries, possibly as long as 30,000 years. Precise dating is difficult because there are few text sources. However, highly-developed civilizations flourished at various times and places, such as the Andean Inca and the Central American Maya.

Colonialism

Christopher Columbus "discovered" the Americas in 1492. Subsequently, the major sea powers in Europe sent expiditions to the New World to build market lines and colonies. First, concentrating on the central and southern parts of the Americas, the Spanish and Portuguese built large colonial empires in California, Mexico, and Brazil.

19th century and post-colonial society

 
Countries in Latin America by date of independence

Following the model of the U.S. and French revolutions, most of Latin America had achieved independence by 1825, in particular due to the inspiration of Simón Bolívar, who in the end failed to hold together a single united Latin American entity. Despite the aparent independence of the former colonies, Europe and the U.S. played major roles in Latin America 19th and 20th centuries, respectively.

The independence of Latin American countries finally allowed the dislocation of old structures and balances, justice and power were monopolized by new landowners, aided by a new law that favored those who held land.

Ejidos were put on sale. Those who used to hold the land were now, by purchasing it, owners, and the poor people who used to serve the landlord were now forced to serve the economy, without rule of mutual respect between lord and vassal. Profitability meant that all the land was bought/exploited, so the poor no longer had any land in reserve.

In Brazil, in 1910, 85% of land belonged to 1% of the population - the fruits of liberalism.

Or, dans les société d' Amérique latine post-indépendance, 2/3 des produits intérieurs brut sont le fruit d'exploitations agricoles ou d'élevages, monopolisé donc par ces propriétaires.

Ces grand propriétaires contrôlent totalement l'activité locale puisqu'y étant le principal employeur et la principale source de revenu. Ils contrôlent donc également la politique locale. Mais ceci s'inscrit dans une société de travailleurs miséreux et peu politisés qui voient ces chefs locaux comme légitimes.

Cette économie de grand domaine est adapté à l'économie de marché internationale, dont elle tire ses revenus, et subit les fluctuations de prix. L'inégalité de la condition de leurs travailleurs les encourage à la libre concurrence avec les états plus égalitaires.

La réalité métisse est totalement niée au niveau des puissants, sauf au Mexique. La culture officielle est exclusivement européenne, catholique, positiviste, sauf au Mexique.

Malgré la proclamation de constitutions inspirées des constitutions américaine et française, le manque d'implication des populations laisse la mise en application à des bourgeois qui n'y ont pas réellement intérêt.

Après les tentatives de Grande Bolivie, République centre-américaine, d'États-Unis d'Amérique du Sud, la nature floue des frontières pousse à de nombreux conflit inter-étatiques, alors que l'intérieur des pays est souvent agité par les luttes entre fédéralistes et centralistes qui ne s'imposent finalement que par l'action et la répression militaire des opposants. Il reste difficile de définir un espace national, une nation reflettant l'état, puisque ces états même ne s'identifient que grâce à leurs racines européennes, espagnoles ou portugaises, et que leur population officielle partage la même langue et les mêmes origines.

La modernisation des réseaux est en grande partie motivé par le besoin de contrôle sur l'ensemble de son territoire, et la capacité d'action rapide à ses frontières.

Cette militarisation de la société latino-américaine pousse à l'émergence récurrente de Caudillos, des chefs militaires dont la prise de pouvoir est légitimée par ses aptitudes de chef de guerre, d'homme d'action. Ils confient le pouvoir local à des Corronel', des chefs locaux, tenant leur pouvoir de leur richesse personnelle et de leur fidélité politique au chef.

Les régimes sont soit présidentiels, peu libéral et assez démocratique; soit parlementaires plus libéral, moins démocratique et plus oligarchique. Dans les deux cas, l'opinion du bas-peuple est diminuée. Le vote est de toute façon souvent conditionnel, favorisant une vie politique limité à une oligarchie.

La vie politique, hormis les caudillos, est occupée par les conservateurs et les libéraux, qui dans les deux cas n'ont pas de politique sociale. Et les insurrections populaires, lorsqu'elles s'expriment, sont souvent instrumentalisées, et réprimées : 100 000 morts lors d'une révolte colombienne vers 1890.

Seul quelques États parviennent à avoir une certaine démocratie : L'Uruguay, et partiellement l'Argentine, le Chili, le Costa Rica et la Colombie. Les autres sont clairement oligarchistes, parfois avec un soutien populaire.

Économiquement, l'amérique latine est certainement dépendante de l'Europe, et si l'indépendance à laisser place à une dépendance accrue envers l'Angleterre, le XIXème siècle voit surtout l'augmentation de la dépendance envers les investissement provenant des États-Unis.

Vocabulaire particulier :

  • Estancias et Haciendas : grandes exploitations fondées sur l'élevage
  • Fazendas : plantations de café/sucre
  • Ejidos : propriété collective, garantissant certains droits a chacun des membre de la communauté.
  • Propriété : le bien d'une seule personne, qui elle seule y a des droits.

20th century under USA leadership

Years 1900-1920

Un tournant est signé avec l'intervention américaine à Cuba, en 1898 et l'amendement Platt de 1902, qui autorise les États-Unis à intervenir à Cuba si cela leur semble nécessaire. La vieille doctrine Monroe, qui freine les interventions européennes, est ainsi remplacée par une Doctrine du Big Stick, plus interventionniste pour la défense de ses intérêts.

En Colombie, la concession du Canal de Panama est rachetée en 1903, mais les élites Colombiennes s'opposent à cette mainmise américaine. Une insurrection panaméenne apparait alors, armée de matériel militaire marqué du signe "US", l'indépendance est imposée, et Panama devient un allié des États-Unis.

Au Mexique, Porfirio Díaz ayant promis en 1908 de se retirer du pouvoir. Francisco I. Francisco Madero, un libéral modéré qui veut surtout moderniser calmement le pays pour éviter une révolution socialiste se lance dans une campagne électorale pour défendre les idées libérales aux élections de 1910. Mais Díaz s'organise une septième élection truquée, qui lance la Révolution mexicaine. Des soulèvements s'organisent et des leaders clefs apparaissent : Pancho Villa au nord, Emiliano Zapata dans l'ouest, et Madero plus modéré. Les États-Unis lachent finalement Porfirio Díaz, en 1911, qui doit démissionner le 27 mai, et s'enfuir au profit de Francisco I. Madero, qui devient président le 6 novembre 1911. Madero entreprend un début de démocratisation, mais peu est fait dans le sens des revendications agraires, et Zapata continue la révolution. Le 18 février 1913 Adolfo de la Huerta, un général conservateur organise avec le soutien des États-Unis un coup d'état : Madero est abattu le 22. Les autres chefs révolutionnaires : Pancho Villa, Zapata, et Venustiano Carranza rejette cet usurpateur qui est bientôt lâché par les États-Unis, mécontent de son comportement dictatorial. Zapata et Villa, alliés, prennent Mexico en mars 1914, mais dans cette ville ouvrière ils ne sont pas sur leur terre et préfèrent se retirer vers leurs bastions respectifs. Ceci permet, après la fuite de Huerta en juillet 1914, à Carranza de mener un combat pour la victoire. Il organise alors la répression des armées rebelle de Villa et Zapata, notamment par l'efficace général Álvaro Obregón qui gagne de décisives victoires en 1915, prend Mexico et devient de facto président en octobre 1915. La constitution mexicaine de 1917 est proclamée, mais peu appliquée.

Sous les ordres de Carranza et avec le soutient du materiel militaire américain, Obregón continue sa pression militaire sur les rebelles. Zapata est finalement assassiné le 10 avril 1919. Carranza, le président, est assassiné le 15 mai 1920, laissant la place à Obregón, qui est élu président. Enfin en 1923, c'est Pancho Villa qui est assassiné.

Le Mexique est finalement pacifié par l'accession au pouvoir d'un militaire libéral, mais peu enclin à satisfaire les aspirations agraires de la masse paysanne.

Years 1930-1960

L'arrivée de Franklin Roosevelt en 1933 permet La politique de Bon Voisinage et tolère certaines nationalisations et atteintes aux intérêts américains, l'amendement Platt est abrogé, libérant Cuba. Le président mexicain Cardenas nationalise certaines grandes entreprises américaine, crée la Pemex, et redistribue quantité de terre.

Cuba théoriquement vouée essentiellement à la culture du sucre depuis 1860, dont 82% va désormais sur le marché américain, est pourtant décrite comme étant le bordel des États-Unis, où tout plaisir se trouve tant qu'on est riche. Les États-Unis interviennent plusieurs fois pour stopper toutes tentatives de soulèvement populaires, et maintenir des gouvernements cubains leurs étant favorables. Le pays a une constitution socialement avancée, mais reste profondément corrompu, et une grande part des biens et exploitations sucrières sont aux mains de compagnies américaines. Depuis 1933, Fulgencio Batista est l'homme clef de Cuba. Sa prise de pouvoir autoritaire en 1952 n'aboutit pas à une ignoble dictature, mais à une dictature où la corruption perdure, et la présence américaine s'accroît. Certains révolutionnaires, tel Fidel Castro, organisent une révolution pour rétablir un état démocratique et se libérer de la présence américaine.

Partis du Mexique sur un navire nommé Ganma le 2 décembre 1956, les 82 barbudos de Castro sont finalement réduit à 13, et mènent une guérilla de montagne, dont l'action principale fut un travail de propagande, par exemple via Radio Rebelde. De plus en plus puissante face à une armée cubaine démotivée, la guérilla conquiert Cuba d'octobre 1958 au 1er janvier 1959.

Mais Castro, qui s'affirme d'abord comme non socialiste, engage finalement son pays dans les réformes agraires et les nationalistations de mai 1959 et surtout décembre 1960 qui poussent John Kennedy à intervenir, c'est l'épisode de la Baie des cochons, le 16 avril 1961. Mais au lieu de ramener Cuba dans la sphère américaine, cela radicalise sa position, et Cuba proclame son caractère socialiste, se rapproche de l'URSS, et s'arme, menant à la crise des missiles de Cuba d'octobre 1962.

L'amérique latine Autoritaire (1970-1980)

See also the 1973 Chilean Coup against Salvador Allende, the Just Cause operation in Panama.

Démocratization since 1990

Doctrines et politiques américaines ayant porté sur l'Amérique latine

  • Doctrine Monroe : "Americas to the americans", refus des interventions européennes.
  • Doctrine du Big Stick (1890-1920) : les USA peuvent être la police des états voisins, dans le but de défendre les intérêt US.
  • Convention Drago (1902) : recour a la force envisageable pour recouvrer une dette
  • Doctrine Tobar (1907) : non reconnaissance des coups d'état
  • Doctrine Wilson : croisade pour la démocratie.
  • Doctrine de Bon Voisinage (de Hoover à Roosevelt) : une diplomatie d'égale à égale avec ses voisins
  • Doctrine Reagan (années 80) : lutter contre tout communisme et socialisme, notamment par des coups d'États.
  • Actuellement : avoir de bon rapport avec l'amérique latine, seconde zone mondiale de pétrole et préserver leurs neutralités face aux actions américaines anti-intégriste.
  • Pre-Columbian :

Mesoamerica : Aztec, Huastec, Mixtec, Maya, Olmec, Pipil, Tarascan, Teotihuacán, Toltec, Totonac, Zapotec
South America : Chavin, Chibcha, Chimor, Chachapoya, Huari, Inca, Moche, Nazca, Tiwanaku

  • Colonization :

British, danish, Dutch and New Netherland, French and New France, Portuguese, Russian , Spanish, New Spain, Conquistador, Spanish conquest of Yucatan, Spanish conquest of Mexico, Spanish missions in California, Swedish

  • History by Region :

History of South America, History of Central America, History of the Caribbean, History of the Americas

  • History by Country :

Argentina, Bolivia, Brazil, Chile, Colombia, Costa Rica, Cuba, Dominican Republic, Ecuador, El Salvador, Guatemala, Haiti, Honduras, Mexico, Nicaragua, Panama, Paraguay, Peru, Puerto Rico, Uruguay, Venezuela.

Other Topics : Relations of Latin America with the United States, Relations of Latin America with Europe, Feminist history in Latin America, History of the Jews in Latin America, Landless Workers' Movement

Bibliography

Introductions

  • Bakewell, Peter, A History of Latin America (Blackwell History of the World (Paperback)), Blackwell Publishers 1997
  • Brown, Jonathan C. Latin America: A Social History of the Colonial Period, Wadsworth Publishing Company, 2nd edition 2004
  • Burns, Bradford, Latin America: A Concise Interpretive History, paperback, PrenticeHall 2001, 7th edition
  • Green, Duncan, Silent Revolution: The Rise and Crisis of Market Economics in Latin America, New York University Press 2003
  • Herring, Hubert, A History of Latin America: from the Beginnings to the Present, 1955. ISBN 0-07-553562-9
  • Schoultz, Lars, Beneath the United States: A History of U.S. Policy Toward Latin America, Harvard University Press 1998,
  • Skidmore, Thomas E. and Smith, Peter H., Modern Latin America, Oxford University Press 2005

Handbooks

  • The Cambridge history of Latin America (11 vls)
  • The Cambridge history of the native peoples of the Americas (3vls)