Michel Maximilien Leenhardt

Max Leenhardt (Montpellier, 2 aprile 1853Montpellier, 15 maggio 1941) è stato un pittore francese.

Biografia

Michel Maximilien (detto "Max") Leenhardt nacque a Montpellier, nel sud della Francia, in una famiglia particolarmente benestante. Suo padre era infatti un banchiere e Max il secondo di ben otto figli. A 19 anni si iscrisse all'École des beaux-arts della sua città e studiò nell'atelier di Ernest Michel. Nel 1873, un anno dopo la scomparsa del padre, fece un viaggio in Austria, dove eseguì diversi disegni e dove divenne grande amico di Marianne Preindelsberger (Stokes).

Nel 1877 si trasferì a Parigi per seguire i corsi dell'École nationale supérieure des beaux-arts, avendo come insegnante il pittore Alexandre Cabanel. Lì ritrovò suo cugino Eugène Burnand e frequentò i pittori svizzeri e i seguaci neoclassicisti di Jean-Léon Gérôme.
All'inizio si sistemò in una pensione familiare al n.3 di rue des Beaux-arts a poca distanza dall'École, poi affittò una stanza-atelier dove poté accogliere i suoi amici.

Leenhardt completò infine la sua formazione scolastica frequentando alcune accademie libere, laddove strinse un sodalizio con Fernand Khnopff. Da quel momento la sua pittura si arricchì di una certa vena simbolista.

Nello stesso anno del suo arrivo a Parigi, il 1877, assieme al pittore Evert van Muyden, Leenhardt fece un viaggio in Normandia e visitò il Mont Saint Michel, proseguendo poi per la Bretagna, dove si fermò qualche tempo a Dinan. Dal 1878, divise il suo tempo fra Parigi e Clapiers, nei pressi di Montpellier.
Nel 1879 Leenhardt debuttò al "Salon des artistes français", dove continuò ad esporre per quasi tutta la vita, sino al 1939.

En 1880-1881, il voyage en Europe, puis séjourne quelques mois à Constantinople. À son retour il passe par Le Caire, Le Pirée avant de débarquer à Marseille et de regagner Montpellier. Lors de son séjour à Constantinople, il se lie d'amitié avec le peintre ottoman Osman Hamdi Bey.

Installé à Paris, il fait de fréquents séjours à Montpellier, où il épouse Marie Castan (1867-1893) en 1890. Elle est la fille d'Alfred Castan, professeur à la faculté de médecine de Montpellier. De leur union naissent deux garçons : Jean (1891-1967) et Georges (1893-1962).

Il participe activement à des commandes officielles de décors de bâtiments publiques (mairies, théâtres, gare...) dont notamment le buffet de la gare de Lyon à Paris dans le cadre de l'exposition universelle de 1900.[1]

Durant les années 1900-1922, il brosse une série de portraits des professeurs de l' université de Montpellier en médecine, pharmacie et droit.

 
Prisonnières huguenotes à la Tour de Constance

Une facette de son œuvre est d'inspiration religieuse protestante, avec des sujets tels que "Un prêche au Désert" (collection du Musée du Désert) ou "Les Prisonnières de la Tour de Constance" ; elle a fait l'objet d'une exposition en 2011 à Alès[2].

Max Leenhardt meurt le Template:Date-. Il est inhumé au cimetière protestant de Montpellier. Une place de Montpellier porte son nom, ainsi que l'escalier Leenhardt nel Museo Fabre


Opere

Dessins, aquarelles, pastels, gravures, eau-forte
  • Musée national d'art de Roumanie
    • Les Martyrs de la Réforme, fragment d'un dessin à la plume,
Dipinti
  • Faculté de médecine de Montpellier
    • Déjeuner sur l'herbe d'étudiants devant la cathédrale de Maguelonne, vers 1884
    • Portrait d'Alfred Castan, 1890
    • Portrait de Joseph Marie Eugène Grasset, 1920
    • Portrait de Paul Louis André Kiener
    • Portrait de Georges Rauzier
    • Portrait d'Eugène Derrien
    • Portrait d'Albert Mairet
    • Portrait d'Étienne Leenhardt
    • Portrait de Joseph Vires
Estampes, lithographies, affiches
  • 5° prix au concours d'affiches Byrrh
Illustrazioni
  • Collectif, Présences, Librairie Plon, Paris, 1945 (postuma).

Mostre

  • Michel Maximilien Leenhardt et Jean Aristide Rudel, galerie Hambursin-Boisante à Montpellier, du 19 septembre au 20 octobre 2007.
  • Max Leenhardt, octobre 2011, Château d'Assas & Musée du Vigan, commissariat de Numa Hambursin
  • Les Camisards, entre fuite et clandestinité, musée du Colombier à Alès du 8 mars au 28 mai 2012.
  • Le XIXe, un âge d'or de la peinture montpelliéraine, juin 2017, Espace Dominique Bagouet, Montpellier], commissariat de Numa Hambursin

Galleria d'immagini

Note

  1. ^ Louise Gaggini, et al., Le Train Bleu, éd. Presse Lois Unis Service, Paris, 1990 ISBN 2-908557-01-0
  2. ^ Article du Midi Libre du 11/4/2011 présentant l'exposition d'Alès.

Bibliografia

  • AA.VV., Le Train Bleu, edizioni Presse Lois Unis Service, Parigi, 1990 - ISBN 978-2-9085-5701-5
  • Louis Dulieu, La Médecine à Montpellier, tome 4 : De la première à la Template:3e République, 2° parte, Avignone, LPU, 1990 - ISBN 978-2-9500-2410-7
  • Philippe Kaenel, Eugène Burnand : la peinture d'après nature, 1850-1921, Yens sur Morges, Éditions Cabedita, 2006 - ISBN 78-2-8829-5469-5
  • Numa Hambursin :
    • Max Leenhardt, Une collection d’œuvres, catalogue de l'exposition au Château d'Assas, Le Vigan, octobre 2011.
    • Max Leenhardt, Artcurial, Toulouse, décembre 2015.
  • Isabelle Laborie :
    • « Vendanges et peinture languedocienne. Max Leenhardt, illustrateur du renouveau de la viticulture »', 2019, Template:Lire en ligne
    • Max Leenhardt (1853-1941) : vie et œuvres, mémoire de DEA d'histoire de l'art, université Paul Valéry-Montpellier III, octobre 1995.
    • « Schiste et réalisme pictural. Max Leenhardt : le peintre de la vérité », 2013, Template:Lire en ligne.
    • « Sur les pas d'Alexandre Cabanel. Max Leenhardt : Le meurtre au village (1881) », 2016, Template:Lire en ligne.

Voci correlate

Altri progetti

Collegamenti esterni

  • Sito ufficiale: [1]