Utente:Diesis/Sandbox

Autoritratto
Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté (Victoriaville, 6 aprile 1869 – Daytona Beach, 29 gennaio 1937) è stato un pittore e scultore canadese.
Biografia
Hypolite Wilfrid Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté[1], nacque ad a Arthabaska (oggi Victoriaville), borgo facente parte della regione amministrativa Centre-du-Québec. All'inizio Suzor-Coté fu allievo di Joseph Chabert. Poi, affascinato dall'Impressionismo, si recò più volte a Parigi con l'amico Joseph Saint-Charles e seguì dei corsi di pittura e scultura all'École des beaux-arts. Dotato di una bella voce, colse l'occasione per frequentare anche le lezioni di canto del Conservatorio parigino. Ma questa sua seconda attività fu troncata da un'operazione alla gola: gli restavano le arti figurative. Oltre all'École, Suxor-Coté frequentò l'Académie Julian e l'Académie Colarossi. Nel 1887, iniziò per lui il lavoro professionale: partecipò infatti alla decorazione di alcune chiese a fianco del pittore Maxime Rousseau e realizzò delle opere per Wilfrid Laurier[2].
Durante il suo apprendistato Suzor-Coté realizzò un numero notevole di quadri del tutto accademici, forse un centinaio. Ces académies rencontrent les exigences imposées aux étudiants par les Beaux-Arts. De plus, à cette époque il côtoie le sculpteur Auguste Rodin[3]. Une de ses œuvres de cette époque est Le Grand Nu, une académie d'une amie d'Auguste Rodin.
Lors du retour du peintre au Québec, il installe son atelier à Arthabaska. Cet atelier fut construit vers 1895. Un visiteur du temps, Jean Chauvin, donne une brève description de cet atelier qui était garni 1907 et s'installe à Montréal (pron. Monreàl).
. Il revient au Québec enAujourd'hui, de Foy Suzor-Côté est reconnu pour l'envergure et la variété des sujets qu'il traita dans sa carrière de peintre. De plus, la majorité de ses œuvres furent marquées du courant impressionniste alors à la vogue au Québec. Certains évaluent le nombre de ses œuvres à plus de 1500Template:Refnec. Il est reconnu pour ses scènes historiques relative au pays, comme la venue de Jacques Cartier à Stadaconé, œuvre intitulée Jacques Cartier rencontre les Indiens à Stadaconé en 1535. Offerte à l'origine au gouvernement du Canada qui la refusa, cette œuvre est aujourd'hui conservée du musée national des beaux-arts du Québec. Aussi, peut-il être qualifié de Template:Refnec. Un nombre élevé de ses toiles illustrent des scènes de la vie quotidienne des gens rencontrés dans son Arthabaska natal, pays qu'il chérira toute sa vie. Avançant dans la carrière, il se consacrera à la création de nus impressionnistes d'amies qu'il aimera qualifier de « cousines ». Plusieurs de ces nus impressionnistes rappelleront les académies produites à Paris.
Il est l'un des peintres canadiens les plus importants des débuts du Template:S-. Le Template:Date-, le journal La Presse rapporte : Le critique d'art Morgan Powell souligne que
À la veille de ses 58 ans, le matin du 20 février 1927, de Foy Suzor-Côté est victime d'une attaque d'apoplexie qui l'oblige à cesser ses activités créatrices. Les dix années qu'il lui reste à vivre lui permettront cependant de se consacrer à la diffusion de son œuvre et de préparer son entrée dans un éventuel panthéon canadien. La nouvelle de son hémiplégie et de son combat ravive la sympathie du public à son égard. Suivent des traitements à l'hôpital Français et au Sanatoriun Prévost de Cartierville. Avec l'aide de son frère Arthur, fondé de pouvoir, il écoule son fonds d'atelier. Les autorités de la ville d'Arthabaska restent insensibles à la possibilité qui s'offre alors à elles d'acquérir le tout.
Au mois de janvier 1929, de Foy Suzor-Coté part pour la Floride en compagnie de Mathilde Savard, son assistante-infirmière. Il s'établit au Template:Numéro Ocean Avenue à Daytona Beach. Visité par son ami d'enfance Armand Lavergne, ce dernier nous rapporte : Template:Refnec
Le 28 novembre 1933, de Foy Suzor-Coté épouse son assistante-infirmière, une femme qui fut le pinson du foyer. Le couple mène une vie sociale très active malgré le handicap physique dont l'artiste est affligé. Elle partage l'entrain, la désinvolture et l'esprit de liberté qui caractérise l'artiste. Jusqu'à la fin, Suzor-Coté entretient l'illusion de pouvoir un jour reprendre sa production.
Son décès le 29 janvier 1937 fut à l'image du foyer que son épouse avait créé, une image dont de Foy Suzor-Coté n'était pas étranger. Armand Lavergne rapporte les derniers moments de l'artiste : Galerie L'Art français[4].
. C'est dans ce tintamarre que l'artiste assisté de son épouse rendit l'âme. Un tintamarre qui encore se prolonge aujourd'hui par la place que cet artiste a donné à l'œuvre artistique : une place immense. L'artiste est alors exposé par laEn 1975, sa maison natale d'Arthabaska est reconnue comme immeuble patrimonial par le gouvernement québécois[5].
Plusieurs de ses œuvres sont conservées à Arthabaska au musée Laurier[6] et dans l'église de Saint-Christophe ville qui fait partie aujourd'hui de Victoriaville.
Opere
- Le Grand Nu - (Il grande nudo)
- Après la débâcle - (Dopo la disfatta)
- Bécasse - Huile sur toile - (Beccaccia - Olio su tela)
- L'Homme Tronc - (L'uomo-tronco)
- Bretonnes à l'église - (Donne bretoni in chiesa)
- Coin de mon village, Arthabaska - (Un angolo del mio villaggo: Arthabaska)
- Croquis de paysage - (Bozzetto di paesaggio)
- Étude de nu - (Studio di nudo)
- Étude pour « Harmonie du soir » - (studio per "Armonia della sera)
- Femmes de Caughnawaga - (Donne di Caughnawaga)
- Habitations sur la colline - (Abitazioni sulla collina)
- Harmonie du soir - (Armonia della sera)
- Intérieur - (Interno)
- Jeune femme à la guirlande - (Ragazza con una ghirlanda)
- Jeunesse et Soleil - (Gioventù e sole)
- La Bénédiction des érables - (Benedizione degli aceri)
- L'Amateur - (L'amatore)
- La Fonte de glace, Arthabaska - (Lo scioglimento del ghiaccio)
- La Glaneuse - (La spigolatrice)
- La Rivière Gosselin - (Il rio Gosselin)[7]
- Le Partageur - (Il confidente)
- Le Coureur des bois - (Il corridore nei boschi)
- Le Dégel sur la rivière Nicolet - (Disgelo sul rio Nicolet)
- Le Halage de bois - (Trasporto del legname)
- Le Halage de bois, Arthabaska
- Le Remmancheur
- Le Vieux Fumeur - (Il vecchio fumatore)
- Le Vieux Pionnier canadien - (il vecchio pioniere canadese)
- Les Gémissements du vent - (i gemiti del vento)
- Maria Chapdelaine
- Marée montante - (La marea crescente)
- Nature morte aux fruits - (Natura morta con frutti)
- Nature morte aux oignons - (Natura morta con cipolle)
- Onontaha
- Paysage d'automne, le soir - (Paesaggio autunnale)
- Paysage sans titre - (Paesaggio senza titolo)
- Paysan du Québec (1) - (Contadino del Québec)
- Paysan du Québec (2)
- Port-Blanc en Bretagne - (Port-Blanc in Bretagna)
- Portrait d'un homme - (Ritratto d'uomo)
- Portrait de jeune homme - (Ritratto di ragazzo)
- Retour des champs - (Il ritorno dai campi)
- Village de Bretagne - (Villaggio bretone)
Galleria d'immagini
-
La Rivière Nicolet, Arthabaska (1907-1927), Montréal, Université de Montréal.
-
La Fin de l'hiver, Rio de Janeiro, Template:Lien.
-
Maisons sur la colline (1909), Ottawa, musée des beaux-arts du Canada.
-
Le vieux Pionnier canadien (1914), bronze, localisation inconnue[8].
Note
- ^ In gioventù si faceva chiamare Aurèle Côté. Si forgiò poi un cognome aristocratico, prendendolo da quello di sua nonna materna, Defoy, e di sua madre, Suzor: Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté — Laurier Lacroix (2002), op. cit, p.27-28.
- ^ « Marc-Aurèle de Foy Suzor-Côté (1869-1937) Artiste, Bilan du siècle, Université de Sherbrooke.
- ^ Au Québec, ce sculpteur est alors rejeté pour la nature osée de ses œuvres.
- ^ « La glaneuse », Le Journal de Montréal, 27 novembre 1964: .
- ^ « Maison Marc-Aurèle-De Foy-Suzor-Coté », dans Lieux patrimoniaux du Canada, site historicplaces.ca.
- ^ Musée Laurier : Collection.
- ^ Collection Pierre Lassonde. Musée national des beaux-arts du Québec
- ^ « Le vieux pionnier canadien, bronze de Marc-Aurèle de Foy Suzor-Côté, copie réalisée pour l'artiste, 1914 », notice de cette photographie conservée au musée McCord.
Bibliografia
- AA.VV., Suzor-Coté : lumière et matière, Québec : musée du Québec ; [Montréal] : Les Éditions de l'Homme ; Ottawa : Musée des beaux-arts du Canada, impression 2002, 383 p. : ill. (certaines en coul.), cartes, portr. (certains en coul.) ; Template:Unité ISBN 2-7619-1739-1
Altri progetti
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Voci correlate
Collegamenti esterni
- Andrée Lemieux, « Suzor-Coté : Genèse d'une œuvre », Centre d'exposition de l'Université de Montréal, sur museevirtuel-virtualmuseum.ca.
- Œuvres de Marc-Aurèle de Foy Suzor-Côté sur le site du musée McCord