Utente:Ale Sasso/Sandbox
Pagina delle prove di Ale Sasso. I titoli corrispondono agli argomenti di prossima auspicata trattazione. I lavori in corso quando presenti, sono in fondo alla pagina.
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Alioth
Incipit
- Fondata da Ludwig Rudolf Alioth, pioniere dell'industria elettrica e dell'elettrificazione ferroviaria - Nel 1881 Alioth ed Emil Bürgin fondarono a Basilea una fabbrica di materiale elettrico (motori, apparati e locomotive). Trasferita a Münchestein, nel 1895 la ditta fu trasformata nella Elektrizitätsgesellschaft Alioth AG - nel 1911 l'azienda si fuse con la BBC[1].
Storia
- Ancora presenti numerose testimonianze quali motori elettrici e strumenti di misura conservati in raccolte e musei, così come referenze nella letteratura tecnica del settore.
- Costruttore di veicoli ferroviari [1]
Antefatto
- Nel 1824[2] fondò ad Arlesheim, vicino a Basilea da Johann Siegmund Alioth[3] la J.S Alioth & Cie, primo stabilimento in Europa continentale per la filatura di shappe di seta ... en Europe continentale[2].
- L'azienda venne in seguito diretta dal figlio Daniel August Alioth, padre di, Ludwig Rudolf Alioth che dopo gli studi compiuti in Svizzera e negli Stati Uniti collaborò come direttore tecnico e socio del padre alla filatura.
- Nel 1881 Ludwig Rudolf Alioth si associò avec Emile Bürgin, allora eminente elettrotecnico e autore di numerosi brevetti relativi ai motori "a organi sferici", da allora commercializzati dalla Bürgin & Alioth[4]; uno di tali oggetti è conservato al Deutsches Museum di Monaco.
altro
- Nel 1883 Ludwig Rudolf Alioth era ormai pronto per costituire una propria società per la costruzione di materiale elettrico, che venne fondata nel 1883 con il nome di R. Alioth et Cie[1].
- Un motore "Bürgin" a organi sferici sul rotore fu presentato sul periodico L'Électricité del 1881[5]. Il est inscrit sur la plaque « Bürgin et Alioth »[6] · [7].
Dans la littérature technique de l'année 1889, il est spécifié[8] que la maison « Alioth » qui s'appelait alors R. Alioth et Cie était connue mondialement[9], pour ses très nombreuses réalisations et ses réseaux industriels de force et de lumière en courant alternatif dès 1888, ce qui était téméraire à une époque où la tendance était presque exclusivement en faveur du courant continu. Ces moteurs à courant alternatif étaient alors exclusivement bobinés en anneau au stator (comme le montre le cliché A, à l'arrière plan) valable aussi, comme on peut le voir, pour le courant continu (cliché B).
Postérieurement, grâce à Georg Meidinger, entré chez R. Alioth et Cie comme ingénieur constructeur, selon les sources, en 1891[10] · [11] ou 1892[12], la firme réussi à maitriser le virage industriel vers les courants alternatifs[12]. Des alternateurs, dynamos et moteurs de toutes sortes furent alors construits en série (voir cliché C) et de nombreux brevets furent pris.
La fabrique, implantée en pleine ville de Bâle dans le quartier de Claragraben, qui employait jusqu'à Template:Nombre en 1894 se montra rapidement trop limitée en surface malgré les constructions successives d'étages supérieurs.
La société acquit alors, cette même année 1894, à Münchenstein[13] · [14] · [15] en banlieue de de Bâle, des terrains constructibles qui possédaient même un site hydraulique aménageable en usine de « force motrice électrique » et raccordés au réseau ferré[16].
Tout cela favorisa le développement de l'entreprise dont les nouveaux locaux étaient construits spacieux et fonctionnels. Le nombre de monteurs et ouvriers passa en deux ans à peine à 374[17].
Du matériel aussi ingénieux qu'audacieux fut construit, aussi bien en courant continu qu'alternatif monophasé ou polyphasé (biphasé, diphasé et triphasé). Une nouvelle génération de petits moteurs industriels vit le jour[16](voir cliché D). Le matériel ferroviaire, essentiellement des tramways, fit aussi la renommée de la fabrique tout au long de son existence.
En 1894 la direction prépara alors l'expansion en s'ouvrant à la finance bâloise[18] et en changeant de nom et de statut. Le 1 la société en commandite R. Alioth et Cie devint la société anonyme Elektrizitäts-Gesellschaft Alioth[18] · [13] (en français la Société d'Électricité Alioth). Son capital était d'un million de francs suisses et son siège était situé à Arlesheim près de Bâle[18].
Devant l'expansion du marché français et son potentiel de ventes, la société Elektrizitäts-Gesellschaft Alioth créa, en 1896, la Société d'applications industrielles (SAI). Elle était l'appui financier de la société en France et lui permit d'obtenir de nombreux marchés[19].
La Elektrizitäts-Gesellschaft Alioth s'implanta en France en 1896 par l'intermédiaire de la Société Électrique du Nord basée à Roubaix. Il est indiqué dans le Didot Bottin de 1897 que cette société était alors concessionnaire de la société Alioth de Bâle pour la construction et la vente de ses moteurs sans balais et sans collecteur[20].
- Fondata una filiale francese denominata Société d'électricité Alioth de France
- ^ a b c Kaspar Birkhäuser, Alioth, Ludwig Rudolf, su Dizionario storico della Svizzera, URL consultato nel dicembre 2015.
- ^ a b Thomas Schibler, Alioth, su Dizionario storico della Svizzera, 7 febbraio 2005. URL consultato nel dicembre 2015.
- ^ Kaspar Birkhäuser, Alioth, Johann Siegmund, su Dizionario storico della Svizzera, URL consultato nel dicembre 2015.
- ^ {fr}} Brochure aziendale ABB. URL consultato nel dicembre 2015.
- ^ L'Électricité, settembre 1881, pp. 461-464.
- ^ (PDF) aiuto), sur le site abb.com, consulté le 1Template:Er février 2009 ; p. Parametro/i mancanti (Template:P.)8 :
- ^ (DE) « Charles E. L. Brown - Der Pionier », sur le site d'ABB, abb.com, consulté le 8 février 2009.
- ^ Bibliothèque du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), section : Centre de documentation d'histoire et techniques environnementales (CDHTE), périodique : L'Électricité, 1889.
- ^ (PDF) Article sur l'Exposition universelle de Paris de 1889 : aiuto), 19 août 1889, dans La liberté (Fribourg), Template:Numéro196, 24 août 1889 ; sur le site doc.rero.ch, consulté le 1er 2009.
- ^ Template:DHS Template:Commentaire biblio
- ^ Query, Catalogue en ligne des Archives cantonales de Bâle-Ville : « Handel und Gewerbe SS 8.32. G. Meidinger & Co., 1900-1935 (Serie) ».
- ^ a b Serge Paquier, Histoire de l’électricité en Suisse, Template:Opcit, 2, Template:Chap.« 1891-1901– L'expansion rapide », p. Parametro/i mancanti (Template:P.)634.
- ^ a b Template:DHS
- ^ Archives de l'État de Fribourg, sur le site fr.ch, consulté le 31 janvier 2009.
- ^ Errore nelle note: Errore nell'uso del marcatore
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- ^ a b Serge Paquier, Histoire de l’électricité en Suisse – La dynamique d'un petit pays européen, 1875-1939, Éditions Passé Présent, Genève, 1998, 2 volumes, 1214 pages ISBN 2940014159 Template:Présentation en ligne ; 2, p. Parametro/i mancanti (Template:P.)636.
- ^ « L'électricité industrielle », dans Revue de l’électricité et de l'éclairage en général, Template:Numéro5, 1896, p. Parametro/i mancanti (Template:P.)44 et Template:Numéro7, 1898, p. Parametro/i mancanti (Template:P.)178.
- ^ a b c Serge Paquier, Histoire de l’électricité en Suisse, Template:Opcit, 2, Template:Chap.« 1891-1901– L'expansion rapide », p. Parametro/i mancanti (Template:P.)635 ; avec la liste du conseil d'administration de l'Elektrizitäts-Gesellschaft Alioth AG en 1895, sourcé par : Erster Geschäftsbericht der Elektrizitäts-Gesellschaft Alioth für das Jahr 1895, Bâle, 1896, p. Parametro/i mancanti (Template:P.)2.
- ^ Serge Paquier, Histoire de l’électricité en Suisse, Template:Opcit, 2, p. Parametro/i mancanti (Template:P.)638.
- ^ Didot Bottin, 1897 (Bibliothèque historique de la ville de Paris).
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Officine Bagnara
Officine Bagnara | |
---|---|
Stato | Italia |
Fondata da | Attilio Bagnara |
Prodotti | Veicoli ferrotranviari |
Le Officine Bagnara, dal nome del fondatore e proprietario, altresì note come Officine Ferroviarie Liguri, furono un'impresa di costruzione di veicoli ferroviari con sede a Genova, attiva fra i primi del Novecento e gli anni sessanta.
Fra i protagonisti della nascente industria meccanica italiana, le officine Bagnara curarono la fornitura di diversi veicoli per le ferrovie e le reti tranviarie dell'epoca. La crisi del secondo dopoguerra e la concorrenza delle più grandi aziende del settore condussero al fallimento di tale azienda.
Settori di attività
L'attività di "costruzione di carrozze e carri per ferrovie e tramvie", che nel 1906 valse allo stabilimento (da capire quale, visto che a Sestri fu dondato nel '13) il diploma d'onore all'Esposizione di Milano[1] comprendeva la costruzione di veicoli rimorchiati così come l'allestimento di elettromotrici tranviarie in collaborazione con le aziende di trasporto committenti e i fornitori di equipaggiamenti elettrici.
Nel 1914, un anno dopo la fondazione dello stabilimento di Sestri Ponente, le officine Bagnara ottennero dalle Ferrovie dello Stato un'ordinazione di dieci carrozze miste di I e II classe, ventidue carrozze di III classe e sessanta carri[2].
Fra le altre realizzazioni si ricordano il parco di carri e carrozze acquistate dalle Ferrovie Padane per il rinnovo del parco rotabile da impiegarsi sulla ferrovia Ferrara-Codigoro che a metà degli anni venti sostituì la precedente tranvia[3] e le carrozze a tre assi di terza classe con bagagliaio costruite nel 1930 per le FS e da queste immatricolate nel gruppo CDiy 67.000[4].
Per la rete tranviaria di Trieste vennero costruite nel 1925 le sei elettromotrici 161÷166 con equipaggiamenti elettrici CGE; per l'analoga rete di Genova fu curata parte della fornitura di elettromotrici avvenuta lo stesso anno (Da verificare anno e equipaggiamenti sul libro di Paolo) nonché parte delle celebri vetture a carrelli serie 900.
Storia
Già attiva e in espansione a partire dai primi del XX secolo, come attesta la domanda di spazi pervenuta nel 1904 al comune di Finale Marina per l'ottenimento di spazi da adibire a un nuovo stabilimento[5], la società era attiva a Sestri Ponente nel 1911 con il nome di Officina Bagnara[6].
- Fondazione nel 1913 come Officine Ferroviarie Liguri e periodo di crisi http://www.ipsiaodero.gov.it/Progetti/attilio_odero/fiom.htm (impossibile visto che nel 1906 aveva già vinto un premio...)
- Stessa cosa dice un sito sindacale: nel 1913 a Sestri nel campo delle costruzioni ferroviarie erano nate le Officine Ferroviarie Liguri (Bagnara)
- Ancora fondazione nel 1913: https://books.google.it/books?hl=it&id=A6JIAAAAYAAJ&dq=Bagnara+Ferroviaria+Genova&focus=searchwithinvolume&q=Bagnara+1913
- Società Ginnastica Andrea Doria - Sezione Pallanuoto 1922 e Risultati delle elezioni politiche italiane del 1913
- poi Attilio Bagnara S.A.: Su sei lettere del 1924-1925 si parla di "Società Anonima Industriali. Attilio Bagnara (già officine Ferroviarie Liguri)" https://books.google.it/books?id=ImTZ6dRnghAC&pg=PA84&lpg=PA84&dq=Attilio+Bagnara+S.A.&source=bl&ots=WNBje3GVn3&sig=wJRfZqIdgIC78Z7cxYule1nMMIM&hl=it&sa=X&ved=0ahUKEwiRx6r26PvJAhXGThQKHXVPDN4Q6AEIPDAE#v=onepage&q=Attilio%20Bagnara%20S.A.&f=false
- Qui si fa confusione ma qualche dato sembra buono: fra le due guerre l'azienda aveva raggiunto un livello nazionale grazie alla sua conversione in industria "per la costruzione di vagoni ferroviari, tram, autobus, furgoni e macchine agricole". allora vi lavoravano 1000 operai. Negli anni cinquanta la concorrenza delle grandi fabbriche come la Fiat, costrinsero Ermillo Bagnara, subentrato al padre Attilio, a un ridimensionamento http://sestrin.blogspot.it/2014/02/curiosita-di-sestri-ponentela-famiglia.html
- 1964: preannunciato ridimensionamento dell'azienda mediante licenziamento di quaranta operai. http://legislature.camera.it/_dati/leg04/lavori/stenografici/sed0135/sed0135.pdf
- qui si parla esplicitamente di fallimento, di un appello del 1969 e della conferma con sentenza della cassazione del 1971: https://books.google.it/books?id=0W8zAQAAIAAJ&q=%22officine+ferroviarie+liguri%22&dq=%22officine+ferroviarie+liguri%22&hl=it&sa=X&redir_esc=y
Dati societari
- anni trenta costruzione abitazioni per famiglie operaie a sestri da parte di Bagnara come della altre industrie della zona (Ansaldo, San Giorgio, Piaggio, Tassara) http://www.storiaindustria.it/repository/fonti_documenti/biblioteca/testi/Testo_Industria_e_paesaggio_Paesaggio_industriale.pdf
- Situazione 1951-1957 http://intesasanpaolo.xdams.org/intesa-web/detail/imi/IT-ISP-AS00004-0005500/34-relazioni-gs-952-6000-6035-34.html
- Documento d'epoca su carta intestata http://www.ebay.it/itm/1915-SESTRI-PONENTE-GE-Officine-Ferroviarie-Liguri-imbottitura-lamiere-di-prua-/310699824363
- https://books.google.it/books?id=ImTZ6dRnghAC&pg=PA340&dq=%22officine+ferroviarie+liguri%22&hl=it&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=%22officine%20ferroviarie%20liguri%22&f=false
- https://books.google.it/books?id=ALOMAAAAIAAJ&q=%22officine+ferroviarie+liguri%22&dq=%22officine+ferroviarie+liguri%22&hl=it&sa=X&redir_esc=y
- https://books.google.it/books?id=d_YuAQAAIAAJ&q=%22officine+ferroviarie+liguri%22&dq=%22officine+ferroviarie+liguri%22&hl=it&sa=X&redir_esc=y
Note
- ^ Esposizione internazionale delle industrie e del lavoro - Guida ufficiale della Esposizione internazionale, Momo, Torino 1911, p. 167.
- ^ Rassegna dei lavori pubblici e delle strade ferrate, Volume 7, 1914. Parzialmente consultabile su Google books.
- ^ Valentina Vecchiattini, Gestione Governativa Ferrovie Padane - L'infrastruttura ferroviaria, in Annuario socio economico ferrarese, 1999. URL consultato nel dicembre 2015.
- ^ Evaristo Principe, Carrozze FS dal 1929 alla ricostruzione postbellica, Treninscala, 2009. URL consultato nel dicembre 2015.
- ^ Angelo Tortarolo, L’impianto di uno stabilimento industriale in Finalmarina, in Il quadrifoglio, Anno III, n. 5, 2013, p. 10. URL consultato nel dicembre 2015.
- ^ Atti parlamentari, Camera dei deputati, Legislatura XXIII, prima seduta, discussioni, Tornata del 18 febbraio 1911.
Desiderata
- Da valutare
- Il trasporto pubblico a Bergamo. ATM 1907-1997 - http://www.libreriauniversitaria.it/trasporto-pubblico-bergamo-atm-1907/libro/9788814080449 - http://www.ibs.it/code/9788814080449/zzz99-graziola-g-zaninelli/trasporto-pubblico-a-bergamo.html?utm_source=2326844&utm_medium=Affiliazione%20-%20Tradedoubler&utm_campaign=Affiliazione%20-%20Tradedoubler&tduid=a204435f0df5a41920eb0353f712be2c
- Casaloldo-Medole: https://books.google.it/books/about/Un_tram_che_si_chiama_desiderio.html?id=TbiioAEACAAJ&redir_esc=y
- Vedere ultime mail inviate a Panconesi
- Biella Oropa: http://www.biellaclub.it/_cultura/libri/Tramvia_Biella-Oropa/
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